PRISONNIER DE LA VACHE
Exposition moVIE #03
120X160 cm Encre
Le détournement du titre du film nous questionne. Chaque tableau est accompagné d’un texte* sous forme d’un cartel dressant un bilan écologique mais qui se termine toujours par une invitation au changement.
Extrait du texte du cartel
« Finalement ne sommes-nous pas prisonniers de la vache ? Prisonniers d’un mode d’alimentation ou la place de la viande est encore trop au cœur de nos assiettes. Émissions de gaz à effet de serre, déforestation, surconsommation d’eau : l’élevage coûte cher à la planète.
Les chiffres sont fous. 75% des espèces de plantes, amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères ayant disparu sont victimes de surexploitation ou d’activités agricole. 80% de la déforestation est due à l’agriculture et ce notamment parce que les animaux sont nourris au soja.
La réduction de notre consommation de viande pourrait avoir des effets bénéfiques sur notre santé, mais aussi et surtout sur notre bilan carbone alimentaire.Les pays développés en particulier devront réduire de 90% leur consommation de viande pour préserver la planète et nourrir les quelque 10 milliards d’humains attendus d’ici 2050...»
* les textes sont co_écrit avec Virginie Bricout conférencière sur de nombreuses thématiques, liées au développement durable, aux gestes éco-citoyens et aux agendas 21.Le détournement du titre du film nous questionne.
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